- Entre le changement et la paix, les camerounais préfèrent la paix.
- Les camerounais restent sensibles et soumis à la communauté internationale (notamment à l’opinion de la France)
- Si PING ou Ouattara étaient camerounais, ils ne se seraient pas présentés aux élections : l’épervier y aurait veillé.
- Notre chef est semblable au Roi Hérode, il tue tous les enfants quand il apprend que le messie est né.
- Les camerounais aiment les débats et les mots violents, ils sont convaincus qu’ils sont les plus intelligents d’Afrique mais ils n’affrontent l’autorité que par des mots.
- Si il y’avait une guerre au Cameroun, les forces de l’ordre et les populations en face à face s’échangeraient seulement des insultes et des vannes sans en venir aux mains.
- On ne falsifie plus les résultats au Cameroun, c’est une technologie dépassée.
- Il n’y a pas d’électeurs indécis au Cameroun, tous les électeurs sont décidés, sinon on décide à leur place. Là est la clef.
- Les « western » ont le pouvoir économique et tiennent à le garder, ils peuvent favoriser une petite menace afin que le régime sollicite leur appui, cet appui restera alors comme une dette et le régime les protègera. [copain-copain]
- Les cow boys (éleveurs) du Nord peuvent se fâcher « vrai-vrai » et demander appui aux guerilleros du Sud-Soudan…
- Mais le prétexte d’un renversement passe toujours par une élection…les cow boys n’en ont pas la maîtrise
- C’est l’argent qui fait la guerre, pas le peuple.
- On a discuté du Gabon, de la Côte d’Ivoire et de la France, on a bu à gorge déployée, on a dansé le long de la nuit…pour avoir la gueule de bois au matin des élections.
- C’est pourquoi le Cameroun c’est le Cameroun.