Je m’appelle Thibault Marcel TSIMI, on m’appelle communément Cheikh Kemit, je suis planner stratégique.
Accessoirement
– je donne des cours de création publicitaire, stratégie publicitaire et détermination du budget de campagne dans quelques instituts universitaires (ISMA, IUC,IUG) …,
– j’interviens dans une émission- radio spécialisée « On n’achète pas les cerveaux » sur MediAfrique,
– je publie périodiquement des chroniques dont quelques exemples peuvent être consultées sur mon blog : http://cheikh-kemit.blogspot.com
A mes heures perdues, si tant est que j’en ai, je me laisse aussi aller à l’amusement littéraire et je me fais plaisir d’écrire.
A ce sujet, tout dernièrement je me suis donné en cadeau une publication à compte d’auteur, mes écrits dont je n’ai pas voulus perdre la trace, il s’agit de 2 livres dont 1 nouvelle (si on peut les appeler ainsi) et 1ouvrage spécialisé dans mon métier…et un autre en relecture pour une publication prochaine.
J’ai pour passion mon métier, cela semble un lieu commun de le dire, mais je prends le risque de vous le dire tout simplement parce que c’est vrai, et mon objectif est d’aller aussi loin que possible, dans la pratique comme dans la recherche.
Que vaut la pratique s’il n’y a pas de recherche et que vaut la recherche si on ne peut la mettre en application?
Pré-histoire
Né en saison pluvieuse…c’était le 24 septembre 1982 dans un champ de canne à sucre (Maternité SOSUCAM)
Ecole primaire publique dans la petite ville de MBANDJOCK.
Après le primaire, l’école est (au) secondaire,
Direction petit séminaire Saint Joseph d’Efok, puis Petit Séminaire Saint-Paul de Nylon à Douala.
D’où le type en question (CKT) obtient le probatoire depuis la classe de seconde, Il décroche, par la suite, sans grande difficulté, un BAC A2 (Latin-Lettres classiques) et s’envole vers le CANADA faire un peu de cette science politique à l’université LAVAL.
L’aventure canadienne dure 3 ans, il faut revoir les ambitions à la baisse. Le Canada est définitivement trop froid, trop cher et beaucoup trop éloigné de papa qui vit ses derniers jours.
Douala accueille, le type en question et lui donne une partie de connaissances théoriques en science de l’information et de la communication.
Déçu par la science contemporaine de l’information et de la communication, il embrasse une carrière de publicitaire et goûte à ce poison appelé « l’insatisfaction-des-choses-telles-qu’elles-existent ».
Convaincu que si la majorité des problèmes entre les hommes découlent d’une mauvaise communication, alors la solution à ces nombreux problèmes pourrait venir d’elle. Ce trésor caché que renferme la communication est désormais l’objet de sa quête. C’est le meilleur bien qui puisse advenir à ses contemporains les hommes.
C’est pourquoi il est: L’Annonciateur Du Bien à Venir.